Indiana Jones and the Dial of Destiny
James Mangold, USA, 2023o
Finding himself in a new era, approaching retirement, Indy wrestles with fitting into a world that seems to have outgrown him. But as the tentacles of an all-too-familiar evil return in the form of an old rival, Indy must don his hat and pick up his whip once more to make sure an ancient and powerful artifact doesn't fall into the wrong hands.
Indy est de retour ! Pour la première fois non dirigé par Spielberg, un Harrison Ford à nouveau jeune – les 20 premières minutes du film ont bénéficié d'une assistance par ordinateur – puis honnêtement vieilli, se lance dans une chasse aux antiquités aventureuse. Rempli de scènes d'action et de poursuite endiablées, de dialogues humoristiques, notamment dans les situations critiques, et des habituels prétextes à passer à l'action, ce morceau de cinéma nostalgique adoucit le cœur de l'été. Parmi les méchants – oui, les inévitables nazis reviennent aussi – un Mads Mikkelsen bien entouré, et en compagnie du héros, une fois de plus, un enfant et une jeune femme. Bref, on pourrait reprocher à Hollywood d'avoir une fois de plus peu de nouveautés à proposer. D'un autre côté, les remèdes de grand-mère sont eux aussi très anciens et n'en sont pas moins efficaces.
Till BrockmannGalleryo





